notes sur le fugace
Peut-être ai-je pu rester ce grand nostalgique des ressentis de l’enfance, comme celui de prêter beaucoup trop d’importance à ce qui, décemment, ne peut être là.
Voir, enfant, tous ces êtres curieux ou des visages se développer puis disparaître dans les nuages, voir d’autres êtres s’inscrire sur les troncs d’arbre, les rochers, ou sur des murs lépreux, tout comme au réveil, entre deux eaux, …